Après réflexion, je pense qu’il est plus logique de réunir en un seul article plusieurs chapitres. En effet, les idées développées par l’auteur font plus sens lorsqu’elles sont abordée simultanément. Allons-y! (la partie 1 est là)
Chapitre 2 : le champ de diamants
Dans ce chapitre, l’auteur évoque une fable dans laquelle un fermier possédant une ferme et vivant dans un pays connu pour ses diamants désire devenir riche. Il décide donc de vendre sa ferme et d’acheter du matériel et une concession pour y miner des diamants. L’homme se lance donc dans son aventure de minage et….ne trouve rien.
Pendant ce temps, l’homme à qui il avait vendu sa ferme peu chère commence l’exploitation de celle-ci. Il dégage des pierres gênants l’exploitation des champs, et en observant l’une d’elles attentivement, il finit par se rendre compte que c’est un diamant d’une taille impressionnante. Bref, le fermier a vendu un terrain sur lequel il y avait un champ de diamants, et pour une raison stupide : il n’a jamais pris la peine de s’intéresser à l’aspect d’un diamant.
La morale de cette fable est que nous sommes tous assis sur notre propre champ de diamants, mais qu’il faut bien chercher pour voir où se cache ces diamants. Cette idée s’applique à de nombreux domaines de la vie. Si l’on n’aime pas forcément son travail, est-on sûr d’en avoir visité tous les aspects? Peut-être l’un d’eux, encore méconnu, pourrait faire notre bonheur.
Mais pour cela, il faut se servir de sa tête, de son esprit. Il faut se poser les bonnes questions : est-ce que dans mon travail, mon activité, je fais tout ce que je peux pour être au mieux? Comment puis-je m’améliorer? Est-ce que je connais déjà tout ce qui s’y fait? Ainsi, il peut-être bon de passer une heure par jour à lister les opportunités et les directions que l’on peut prendre et saisir dans le cadre de notre activité.
Chapitre 3 : une destination qui vaut la peine
Ce chapitre est particulièrement important car l’auteur y donne, selon lui, le secret de la réussite et de la motivation de certaines personnes comme des familles émigrées qui travaillent dans une épicerie 24h sur 24 et 7j sur 7. Pour lui, ces personnes ont un but, un objectif défini, qui leur fait envie, qui les motive car elles savent que l’accomplissement de cet objectif en vaut la peine. Selon l’auteur, c’est ce dont manque la majorité des personnes : un objectif.
C’est cet objectif qui constituera une ancre solide dans les moments de doute. De plus, l’auteur utilise une image intéressante. Selon lui, on éprouve une joie plus intense dans l’attente des cadeaux de Noël et lors de leur découverte et ouverture que lorsqu’on les a entre les mains. Ainsi, l’accomplissement d’un objectif est une belle chose, mais plus encore, c’est le chemin de l’accomplissement qui en vaut la peine.
De plus, il est important de se concentrer sur un but à la fois. Bien entendu, on peut avoir un objectif « d’une vie », mais il est bon de le décomposer en objectifs successifs et atteignables plus « rapidement ». En outre, il faut se projeter dans le rôle que l’on souhaite incarné, qui correspond à ce que l’on souhaite atteindre, car nous sommes la somme de nos pensées, alors autant qu’elles soient positives et dirigées vers l’accomplissement de notre but.
Enfin, selon l’auteur, le succès n’est pas tant l’accomplissement du but, mais le cheminement de cet accomplissement, et le fait d’y mettre tout son cœur et ses efforts.
Chapitre 4 : le miracle de votre esprit
Ce chapitre est tout particulièrement important car, au cours de la lecture, on se rend compte que la question de la réflexion, de la prise de recul, bref, de l’usage de notre esprit et notre pensée est très cher à l’auteur. D’après lui, les gens ayant du succès ne sont pas des personnes qui n’auraient jamais rencontré de problèmes, juste des personnes qui ont appris à les résoudre.
Aussi, il ne faut pas perdre son temps à s’inquiéter de choses sur lesquelles on n’a pas d’impact ou bien qui ne se produiront jamais (ce qui représente, selon lui, la majorité de nos sujets d’inquiétude). De plus, il faut apprendre à penser en s’imposant (comme dit précédemment) une heure de réflexion avec une feuille de papier sur laquelle noter ses idées pour améliorer sa poursuite d’objectifs. Ainsi, en s’imposant ce temps dédié à la réflexion, on s’habitue à réfléchir, à utiliser mieux son esprit.
Chapitre 5 : le destin dans l’équilibre
La notion abordée dans ce chapitre est celle de cause à effet. Grosso modo, pour obtenir une rétribution, il faut fournir un service de valeur et de qualité suffisante. Or, d’après l’auteur, et surtout dans les sociétés des pays développés, les gens oublient ce fait important. Il donne une image assez simple. Pour lui, il faut mettre du bois dans la cheminée pour en espérer de la chaleur, or, beaucoup de gens attendraient simplement devant la cheminée en se plaignant qu’ils ne sentent pas de chaleur (alors qu’ils n’y ont pas mis de bois).
L’idée est donc de d’abord « donner », pourvoir à une demande, rendre un service, avant d’attendre une contribution à la hauteur de notre participation. Ainsi, si on espère être un jour riche, il ne faut pas se projeter dans le futur mais bel et bien chercher à améliorer la qualité de ce que l’on réalise dans le présent. Ainsi, si l’on est insatisfait de sa condition financière, il faut se poser la question de ce que l’on fournit aux autres, et chercher à l’améliorer ou le changer, afin que ce que l’on réçoive en échange change également.
Chapitre 6 : les graines de l’accomplissement
Un des ingrédients importants du succès est l’intégrité. Que ce soit vis-à-vis des autres, mais surtout vis-à-vis de soi-même. Cette intégrité consiste à se connaître, à s’accorder ses forces et ses faiblesses, et à agir en conséquence. Ainsi, la nature nous a tous fait avec une certaine intelligence et compréhension des choses ainsi que certains talents, à nous de les exploiter au mieux pour mener à bien nos projets et atteindre nos objectifs (et oui, c’est tout de même très orienté réussite américaine, je ne vous le cache pas ^^).
De plus, il convient de prendre en considération l’impact et les conséquences du but que l’on poursuivra. Aussi, il est mieux d’essayer de rendre le monde meilleur. De cela émergera le bonheur. En effet, d’après l’auteur, les gens heureux ne sont pas ceux qui questionnent la réalité et l’existence de leur bonheur en permanence, mais ceux qui, en exploitant leurs forces, poursuivent un but qui les animent et dont l’essence est bénéfique à la communauté et au monde. Le bonheur réside dans la poursuite de ce but. Ainsi, le bonheur réside dans la compréhension de la combinaison unique des capacités que l’on possède, et dans leur exploitation afin d’atteindre notre but.
Chapitre 7 : c’est plus facile de gagner
L’auteur insiste sur le fait que jeune, dans la cours de récréation, les enfants cherchent (de par la mode, le comportement etc) à se conformer à la masse. Et le problème est qu’une fois adulte, la majorité des personnes continue sur cette lancée. Or, selon lui, les personnes qui rencontrent le succès sont justement celles qui savent embrasser l’indépendance, et prendre leur propre chemin (cela ne signifiant pas pour autant qu’elles ne peuvent pas appartenir à un groupe^^).
Ainsi, ces personnes seront capables de s’écarter de la masse du commun des mortels, et donneront tout pour atteindre leur but! C’est le mécontentement, l’insatisfaction de leur sort qui sera leur meilleur moteur, et ils feront partie du fameux 5% des gens qui s’élèvent au-dessus de la pyramide sociale. L’auteur utilise d’ailleurs l’éloquente image du soleil qui frappe le haut de la pyramide très longtemps pendant le jour, lorsque ses faces sont cachées dans l’ombre.
Voilà pour cet article, la suite au prochaine épisode 😉
A bientôt,
H