LTF : Chapitre 1 : Comment avoir de la chance

Bon, mettons les choses au clair rapidement : LFT=Lead the Field, un ouvrage écrit par Earl Nightingale. Sans entrer dans les détails, cet ouvrage a pour ambition de nous montrer comment se comporter afin de mener notre vie de manière fructueuse et d’avoir de bon rapport avec le monde. Pour le résumer en une phrase : comment provoquer sa chance.

Si j’en ai le courage, je vais écrire un petit article par chapitre, car l’idée qui est développée dans chacun d’entre eux est très intéressante et son développement vaut la peine de la lecture.

Dans ce premier chapitre, E. Nightingale évoque un élément qui lui semble fondamental : notre attitude. Il s’agit de la manière dont nous réagissons aux éléments que nous rencontrons et également notre comportement avec nos semblables. Pour lui, notre attitude sème ce que nous récolterons : le monde nous renverra ce que nous dégageons. Pour illustrer son propos, il raconte l’anecdote suivante.

Pendant une période de sa vie, l’auteur était agent immobilier. Il a un jour vendu une propriété à un couple de retraités qui souhaitaient s’installer en Arizona. Quelques mois après avoir conclu la vente, il croise à nouveau ce couple, préparant ses cartons pour s’en aller. Tout étonné, il demande au mari ce qui motive ce départ. L’homme lui répond que sa femme vit très mal sa nouvelle existence : elle n’a pas réussi à s’intégrer à la vie du quartier, et ne s’est pas faite d’amis. Le mari raconte que sa femme attendait une forme d’accueil de la part du voisinage, accueil qui n’est jamais venu, et donc, devant cette situation, elle préfère ne pas rester. L’auteur demande à l’homme si son épouse a essayé d’elle-même de faire le premier pas, et à son grand étonnement, l’homme se rend compte que non. La morale est simple : si cette femme se dit qu’en nouvelle arrivante, elle doit-être accueillie, et que le voisinage se dit qu’en nouvelle arrivante, elle doit venir se présenter, nous tombons dans une impasse.

La conclusion que E. Nightingale tire de cela est relativement simple : si vous attendez du monde de l’aide, le monde fera la même chose, et donc rien ne se produira. Il vous faut faire le premier pas et des choses positives suivront. De plus, il explique que le fait de se sentir important, considéré, et apprécié est quelque chose que chaque personne recherche. Aussi, dans toutes nos interactions, il faut essayer, autant que faire se peut, de considérer la personne en face de nous comme la plus importante au monde.

De ce comportement naîtra une bonne interaction qui vous sera salutaire. D’après l’auteur, en appliquant cela, on tire le meilleur de chacun et on s’élève petit à petit dans les échelons sociaux et professionnels. Selon lui, plus vous vous élevez, plus les gens sont agréables et présentent cette attitude. Ce qu’il faut retenir, c’est qu’en se comportant avec les autres comme on aimerait qu’il le fasse avec nous, et en les estimant, il en ressort quelque chose de positif pour notre vie!  Ainsi, on provoque sa chance dans la vie de tous les jours.

Je vous dis à bientôt,

 

H

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